La confiance : l’antidote à un monde incertain

La confiance : l’antidote à un monde incertain

La confiance : l’antidote à un monde incertain

La confiance : l’antidote à un monde incertain

Incertitude. Ce charmant petit mot qui semble gouverner nos vies. Le changement permanent, l’imprévisible, le chaos déguisé en normalité. Vous pensiez peut-être que la prochaine réunion stratégique allait résoudre ce problème ? Ou que cette nouvelle méthodologie à la mode (agilité 4.0, ça vous dit quelque chose ?) allait enfin tout clarifier ? Spoiler alert : non.

6 janv. 2025

6 janv. 2025

Dans ce monde de plus en plus VUCA – oui, ce joli acronyme pour Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu – courir après les certitudes est devenu l’équivalent professionnel de chercher le Saint Graal. Noble, certes. Frustrant, toujours. Utile ? Pas vraiment.

Alors, si la certitude n’est pas la réponse, quelle est-elle ? La confiance. Oui, la confiance, ce concept un peu démodé mais ô combien sous-estimé. Non pas une confiance aveugle ou naïve, mais une confiance lucide : en soi, en ses pairs, et en sa capacité à naviguer dans un océan de doutes sans sombrer.

La confiance personnelle : croire en son propre jugement (même quand tout vacille)

Dans ce monde, croire en soi-même est un acte de rébellion. Rien que ça. Chaque jour, les leaders sont bombardés de données, d’options, d’avis contradictoires. Et pourtant, ils doivent décider. Oui, décider, même si la moitié des informations sont manquantes et que l’autre moitié est probablement biaisée.

Alors, où puiser cette assurance quand tout autour de vous hurle « Danger ! Incertitude ! » ? Réponse : dans la capacité à faire confiance à votre propre jugement. Cette capacité repose sur des compétences cognitives solides : savoir analyser, filtrer, hiérarchiser. Et, surtout, ne pas succomber à la tentation de tout déléguer à une IA ou à un consultant (même si avouons-le, ça fait rêver).

La confiance interpersonnelle : une affaire à double sens

Ah, mais voici l’autre pilier, souvent négligé : la confiance dans les autres. Pas seulement la confiance qu’on vous obéira sans broncher (ça, c’est l’autoritarisme, pas le leadership), mais cette confiance bidirectionnelle qui dit : « Je crois en toi autant que tu crois en moi. »

Sans cette connexion, vos équipes hésiteront à parler, vos collègues éviteront de vous contredire, et vos décisions – aussi brillantes soient-elles – risquent de sombrer faute de retours critiques. Parce qu’on ne construit pas un navire en haute mer seul dans son coin. (Ou si, mais bonne chance pour la traversée.)

Un monde incertain appelle des leaders confiants (et non des certitudes)

Le problème, c’est qu’on nous a trop souvent vendus l’idée que l’incertitude se combat avec des réponses claires, des procédures bétonnées, et des check-lists à toute épreuve. Faux.

La vraie réponse, c’est de s’armer de confiance. Confiance pour agir malgré l’inconnu. Confiance pour collaborer, écouter, corriger le tir. Confiance pour accepter qu’on ne saura jamais tout, mais qu’on saura toujours s’adapter.

Parce qu’à la fin, dans un monde où même les algorithmes ont leurs biais, c’est votre foi en votre propre jugement et votre capacité à cultiver la confiance autour de vous qui feront la différence.

La confiance, votre boussole dans la tempête

Alors, que choisir ? Continuer à courir après des certitudes qui n’existent pas, ou investir dans cette qualité qui transcende les doutes : la confiance. Vous pouvez bien sûr rester paralysé devant l’infini des options et laisser une IA prendre la main. Mais avouez que ce ne serait pas très glorieux.

Le choix est simple : cultivez la confiance. En vous, en vos équipes, et dans ce que vous pouvez accomplir ensemble. Et si vous vous demandez par où commencer, UNREST est là pour vous montrer la voie. Parce qu’au fond, dans la grande partie d’échecs qu’est le leadership, la confiance, c’est votre meilleure pièce.